Un Garçonnet Brisé

La porte ouvre et est entré mon père.

 

« Nous avons appris quelque chose ce soir, mon fils cher ? » Il demandait calmement, bien que je sais qu'il est assez en colère.

 

Sur mes genoux dans le coin, je ne pouvais pas voir lui. J'ai senti ses yeux sur mon dos. Il était se forçait être calme.

 

« Es tu dors ? Réveille-toi ! Je dois avoir un répond. » Il se rapprochait et posait sa main sur ma tête, caressait mes cheveux. « Ta mère adorait tes cheveux, marron et plats avec un peu de boucle. »

 

Je tressaillis et ne répondais.

 

« Je sais que tu as fatigue, mais cet doit être fait. Nous avons appris quelque chose se soir ? » Il insistait. « Tu ne comprends pas que ton père t'adore, dingue garçonnet ? Que tu n'es pas avec ta mère et ses proches, les negros? Que tu ne vas jamais vois eux encore ? »

 

Les larmes vinrent. Mes épaules se soulevaient.

 

Il me prit dans ses bras comme un bambin. Ce n’était difficile pas pour lui, bien que j' étais déjà huit ans, car il était un homme très grand et j'étais mince. « Mon fils, mon fils premier né. »

 

Je ne serais pas le regarder. Mes yeux étaient en baissés. "I don't want you…" Je disais avec pétulance en l'anglais.

 

Il me feignait laisser tomber. J’accrochais a lui comme un trapéziste. « Qu'avons nous disons au sujet de l’anglais ? Ce n'est l'Etats Unis pas et tu n'es pas un américain ! »

 

« Je ne veux pas vous ! » Je hurlais le français. 

 

Il me levait encore une fois. « C'était très bon, mais tu n'as pas appris. »

 

Je commençais pleurer vraiment lors. « Papa, s'il vous plait ! Je suis en tel fatigue ! Pardonnez-moi ! J'ai fait une erreur. Je ne suis pas un garçon mauvais ! »

 

Tous de cet punition pour jouant avec un jouet, un animal en peluche, donnée à moi par ma grand-mère maternelle avant nous avions été envoyées à Israël avec notre père. La seule chose j'avais partir de mon temps de l'Etats Unis. Je l’avais caché, mais il l'a trouvé.

 

Il y avait silence tendu pendant quelques instants.

 

« D'accord donne ton papa un bisou et je vais retourner l'étage. » Il soupirait enfin. « Je reviendrai encore après vingt minutes plus pour vérifier comment tu vas et peut-être alors tu peux aller a lit. »

 

Je désirais embrasser ma mère, avoir elle avec moi encore, mais sans aucun choix je laissais mon père embrasser mon front et mon oreille. Il m'a mis sur mes pieds, mes jambes étaient endolories et tremblaient, en raison j'avais été agenouillement pendant des heures.

 

Dans la même manière que plus tôt, une poussée dur forcé moi vers les bas sur mes genoux meurtris.

 

Encore une fois, je restai seul dans l'obscurité, brisé et vaincu.

 

Je serais restai là pendant mon enfance entière.