Chaines Incassables(fin alternative pour Ses Chaines Ont Été Brisées)

Chaines Incassables(fin alternative pour Ses Chaines Ont Été Brisées)

A Story by MeratheRestless
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Un basketteur jeune montante pense au sujet de l'impensable.

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« Fillette, fillette…" Je disais à ma petite soeur. "J'ai ici une image très belle de tu et moi quand nous avons été plus jeunes. Une image très belle de tu, moi, et notre mère. As-tu oublie maman ? Tu étais quatre ans seulement, quand elle morte. Je n'ai pas oubli, parce que j’étais presque sept ans. Quatorze longues ans sans elle. Notre mère.... elle était très magnifique et plein de vie. Mommy avait seuls vingt-huit ans quand elle morte. Mommy était heureuse et aime bien avoir de plaisir ! Papa a caché cet image pour de nombreuses années, mais je la trouve seul récemment. Peut croire qu'il cache telle une belle image de sa femme morte et leurs enfants jeunes ? Incroyable ! Était-il honteux de nous ? » regarda ma soeur et espérée elle était blessée seule, et ne morte. En vérité, je n'étais pas forte, mais coups sur la tête étaient dangereux, souvent mortelle. « Notre père…il nous adorait tellement il dit ! Mais il ne savait pas quoi amour vrai était, fillette. Ta mère t’adorait. Veux-tu moi décrire cet image j'ai dans mes mains ? »

Seulement quelques minutes avant, l'image était dans les mains de mon père. Mes larmes mélangées avec ses larmes. Il pleurait avec cette image dans ses mains quand je l’attaqué. « Mon fils pourquoi ? Tu n'es pas le garçonnet beau et affectueux qui ma femme chérie a donné naissance ! Tu es un démon sans coeur ! » Il ne pouvait pas croire.

J’ai déchiré l’image hors de ses mains et quitté sa chambre à coucher. Il saignait, mais je ne savais pas s’il était mort.

J’avais perdu mon courage et rage.

« Nous étions dans le grand jardin botanique de l’université. Mommy asseyait dans les herbes avec la petite tu sur ses genoux. Et je m’agenouillé avec le visage de notre mère dans mes petites mains pour l'embrasser. Tout sourires ! »

Le sang a coagulé dans les longs cheveux foncées de ma soeur. Touchais son cou et il n’y avait pas une impulsion.

« C’est une photo très joli. Un de mes favoris. Elle était celle qui voulais des enfants, quoique sa sante a souffert beaucoup. La naissance de ta soeur presque tuée ta mère. Si la naissance avait eu lieu dans son pays, lieu d'Europe, elle aurait morte a l’âge de vingt quatre ans. »

J’étais stupéfait ! Certainement je rêvais !

« Tu te souviens, je suppose ? »

Un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept, huit, neuf…..

Je respirais profondément et ouvert mes yeux. C’était les temps oublier mes fantasmes violents.

« Oui, Papa. Je souviens. » J’ai répondu avec un calme artificiel. « Vous étiez dans le d****e, alors je n’ai frappé pas à la porte, c’est bien avec vous ? » Je gardais mon dos pour lui.

« D’accord par moi, mais pourquoi es-tu venu ? » Il ne semblé pas contrarié.

« Vous connaissez pourquoi exactement. » Je ne pouvais pas cacher mon agacement. « Quelles sont mes raisons habituelles ? » Regardant par-dessus mon épaule voir s’il était vêtu décemment. 

« Tu me peux regarder, mon fils. J’ai autant que modestie que tu.  Je m’habillais dans la salle de bain. » Il rit. « Comme pour tes raisons….soit tu veux réconcilier avec moi,pour ton crise de colère plus tôt, ou tuer me. Lequel est-ce ? »

Maintenant ou jamais.

Pourrais-je tuer mon propre père ?

« Je suis en attende et j'ai fatigué. » Il a insisté. « Dites-papa quoi tu dois dire à lui ! »

Je n’ai pas assez de courage.

« Pardonne-moi, papa. Tu sais comme j’agis quand j’énerve.  J’ai eu tort puis et quand je menti au sujet de ma vie pendant mon temps en Amérique lorsque je faisais entrainement sportifs  aussi. » J’obligé de m’excuser.

« Oui, je sais ton tempérament. C’est fougueux et têtu similaire à ta mère. »  Papa convenu. « Je suis ton papa et ne peux pas tenir contre toi. » Il traversa le salon alors qu’il parlait.

Nerveusement je me suis tourné vers lui. Il était trop calme et indulgent. Où étais la colère ?

Bien qu’il ne m’ait frappé jamais,avant ce soir, je tressaillis quand il atteignit pour moi. 

« Regarde-moi, mon petit cher. C’est vrai que tu es plus grand que moi maintenant, cependant tu es toujours mon enfant. » Il m’a ordonné. « Ta mère aimait tes yeux verts jolis. Pourquoi tu regardes vers le sol seulement ? »

Je ne voulais pas qu'il me toucher. Notamment, pas mon visage.

« Mon Dieu ! Ton visage, c’est meurtri……je ne voulais pas nuire plus tôt. Ma claque causée ces contusions ? » Ses remords semblaient authentiques.

« Ne me touchez pas, d’accord ? Vous savez que je ne l’aime pas. » Je reculais.

« Bien sûr, tu as l’intention de bouder. » Il soupira. « D’accord par moi. Tu peux partir maintenant. Bonne nuit et a demain. »

Je me tournais aller alors pausée. Il me n’a jamais permis gagner !

Un petit sourire satisfait était sur son visage. « Vas en paix, mon premier-né cher. Ton papa souhaite pour tu dormir bien. Toutefois, tu dois savoir je pris la liberté de dénonçant tes mensonges dans une manière publique. »

Il ferma la porte derrière moi triomphalement.

Ses ficelles sont restées attachées à moi.

 Contraint d’accepter, que je resterais sa marionnette pour toujours.

Jamais libre complètement. 

© 2016 MeratheRestless


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Added on July 20, 2016
Last Updated on July 22, 2016

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