De sanglant bal du massacre de Carrie satin de dos nu de Molly Ringwald

Pour quelqu'un qui a eu 16 ans dans les jours précédant les médias sociaux, la balle de décrochage était probablement un nadir vestimentaire. À la mine, les garçons portaient mal ajustées costumes et les montants dégoûtantes de gel pour les cheveux; filles ont été resplendissant dans la mousseline de soie et strass chaussures lilas. Heureusement - pré-Facebook, Tumblr et Instagram - la seule preuve photographique est quelques photos floues, le curling sur les bords, cachés dans une boîte sous le lit. 
La balle de Leavers 2014 est une proposition très différente. Maintenant plus communément connu sous le nom de bal, l'événement est devenu une industrie valant au moins 80 livres par an, avec les élèves et les parents bombardements pour robes, costumes, accessoires, des limousines et des corsages. Il ya des spectacles dédiés de bal de la mode, et les parties pré-post-bal, bal et a musclé dans sur le marché de fayre de mariage, aussi. 
De sanglant bal du massacre de Carrie satin de dos nu de Molly Ringwald dans Pretty in Pink, Hollywood scènes de bal ont longtemps inspiré les concepteurs basés Colombie - comme on le voit, plus récemment, à Ashish. Mais il a seulement été dans la dernière décennie que cet aspect de la culture américaine s'est infiltrée dans la vie réelle des adolescents au Royaume-Uni. "Quatre-vingt-cinq pour cent des écoles ont une fête d'été majeur ou un bal maintenant», dit Monique Wyatt, co-fondateur de bal "one stop shop" myschool Proms. "Les étudiants obtiennent des emplois d'été et à commencer à épargner pour leur robes rien jusqu'à deux ans d'avance Certains passent £ 1000 sur leur robe seule Nous rencontrons les enseignants qui disent étudiants -.. Et leurs parents - poussons pour l'hôtel cinq étoiles des lieux, et les garçons qui payer pour louer des camions de pompiers ou de flotteurs de lait pour un look inhabituel quand ils arrivent ". 

"Prom tant que concept a" glissé sur 'des États-Unis, tout comme Halloween a fait avant elle, "d'accord Melanie Berry des accessoires de Claire - un acteur majeur sur le marché. "Les premiers bals de finissants ont commencé dans les écoles supérieurs du Royaume-Uni il ya six ou sept ans comme une célébration de quitter l'école, mais ils sont en train de devenir populaire dans les écoles primaires, aussi. C'est comme un rite de passage, une occasion de célébrer une touche« première »dans leur vie. "Du point de vue des écoles, Wyatt estime que les enseignants utilisent bal comme une carotte - et parfois comme un bâton, trop: «Ils peuvent dire, si vous ne travaillez pas dur, vous ne serez pas autorisé à aller au bal de promo." 
Le magazine de l'entreprise a lancé sa première application de bal dédié cette année, et rédacteur en chef Vic Blanc dit la tendance est venu d'adolescents. "Ce sont des gens qui ont grandi avec Hannah Montana et d'autres importations de Disney Channel." Bien qu'il existe beaucoup de boutiques de bal spécialisés et boutiques de mariage avec des gammes de bal à travers le pays, au cours des dernières années, les détaillants traditionnels ont ciblé l'ensemble scintillant au sérieux. L'année dernière, Topshop a lancé un concours «Topshop Prom Queen", donnant aux étudiants la chance de gagner une robe sur mesure - plus les cheveux et le maquillage - en soumettant un moodboard robe remplie de références de la mode. 
Accessoires de Claire a lancé son premier catalogue de bal dédié cette année, ainsi que l'ouverture d'une boutique pop-up bal à South Molton Street à Londres en mai. Au Debenhams, les ventes de robes de soirée coûtant plus de £ 180 ont augmenté de 250% de Janvier à Mars par rapport à la même période l'an dernier, et le détaillant a lancé sa première section des bals de finissants dédiés sur son site en Avril. L'importance de bal s'est propagé à d'autres détaillants de rechange, aussi, avec l'est londonien cru Mecque Beyond Retro tient sa première nuit de bal dédié cette année. 
Il n'est guère surprenant que le bal est de plus en plus une affaire énorme dans l'âge Instagram, où chaque instant est capturé et partagé. Maaria Abbasi, 15, a déjà commencé à réfléchir à sa robe, mais le grand jour est plus de un an. Elle dit que la planification de la tenue n'est pas compétitive: «C'est le seul jour de l'année où tout le monde va, il n'y a pas de rangs - ce n'est pas garce, mais vous ne voulez regarder bien parce que les photos seront tous sur les médias sociaux."
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